Revue de presse : Radio Maniok

« Le public a bénéficié en avant-première des premiers résultats du travail collectif : du texte, de la musique, des prouesses acrobatiques et aériennes, de l'humour...un délicieux mélange qui laisse augurer d'un spectacle d'une haute teneur artistique. »
?Résidence de territoire à Vic-Fezensac, Le Journal du Gers 

Revue de presse : Appuie-toi sur moi

« Au coeur d'un chapiteau à ossature en bambous et ouvert sur le ciel, un duo de circassiens de La Réunion raconte son île, sa passion du cirque, sa vie de couple, autour d'un mât chinois. Le récit croise et recroise, sans le paraphraser, le travail des corps. L'acrobatie aérienne estompe parfois la rudesse de la rencontre. Une belle histoire à la fois brute de décoffrage et intime, en gestation. »
Telerama, 2020

« Ce n’est ni l’histoire d’un couple ni une histoire d’amour. Mais celle de deux subjectivités qui se rencontrent, se confrontent, se séparent. Deux narrations internes superposées, portées par les voix des circassiens. Deux versions d’une désunion. L’écume de leurs jours à un goût amer, sous l’apparente simplicité de leurs échanges à la Boris Vian. Elle est malade, fragile, fantasque. Il est mythomane, étouffant, et terriblement seul. Voici l’histoire de deux grands blessés dont le déséquilibre engendre une danse. A mi-chemin entre la valse et le tango, la lutte et le fiasco. Une traversée intime qui jamais ne sonne faux. [...] Évidement. Poétique, esthétique, émouvant et haletant. Un combo gagnant »
Bougo.re, 2019

« La magie opérait sous leur magnifique tipi à ciel ouvert où ils tissent, en acrobaties altières et légères, les lignes d’un conte qui a l’art et la manière de laisser sans voix le public.
Une histoire intime qui leur va comme un gant et booste comme jamais leur élan du haut en bas d’un mât où leurs corps s’associent, se supportent et se relaient. Un troisième joueur ajoute les notes de sa créativité musicales aux ébats de ce festival [...]. Une pure merveille pour rallumer l’envie de voler, une maîtrise créant dans l’espace la surprise, le tout finement calibré avec une harmonie répétée comme celle qui jaillit de la trompette de Vincent [...]. Tout dans l’histoire rayonne d’une pureté et d’une magie qui résonne dans l’esprit de petits et grands, leur laissant le sentiment d’avoir vécu, à l’unisson, un moment d’exception.
Quand on sait qu’ils ont signé leur mise en scène et leurs mots en compagnie de Gilles Cailleau, on saisit mieux encore l’alchimie de ce cadeau. [...] Aucun hasard dans cette association au nom de l’art, de la complicité et de la jubilation unissant le baladin aux meilleurs de nos circassiens. Les occasions vont se multiplier pour voir « Appuie-toi sur moi » et il faudrait être là pour partager du spectacle vivant, ce trésor qui vous laisse enchanté. De toute beauté ! »
Le JIR , avril 2019

Revue de presse : la pli i donn

« La Pli i donn est probablement la vraie surprise de ce festival. Créé par la compagnie réunionnaise Cirquons Flex, ce spectacle de cirque contemporain est à l’image de son île : multiculturel et volcanique ».
Bulles de culture, Avignon le off, juillet 2015.

« Avec «La Pli i donn», la compagnie plonge dans les origines du peuplement réunionnais pour écrire une histoire illustrant l'évolution de notre monde moderne ».
La Dépêche , janvier 2015.

« Décidément éloigné de tous les clichés sur les îles, le propos nous entraîne une fois de plus dans une approche juste, pertinente, profondément humaine des êtres ». 
Zibeline,  février 2015.

« Malgré le « retournement des morts » le spectacle est mené sans temps mort et le public est transporté aux îles. Une belle réussite arc-en-ciel ».
La Marseillaise, février 2015.

« Outre leurs performances d'acrobates, circassiens, musiciens, danseurs, ils se posent et nous posent des questions sur la préservation de la terre et des espèces, sur la transmission, s'inquiétant de la course au développement à travers des textes de Danyel Waro. Un spectacle profondément humain et poétique, où chacun fait partager ses rites et coutumes à préserver ; une belle utilisation de la vidéo nous montre les traductions des textes dits ou chantés, des paysages et " la pli i donn " (il pleut à verse) pendant l'été austral. »
La Provence, juillet 2015.

 

« Quelle merveille d’humanité ! Réussir à relier la crise politique, environnementale,  psychologique et la question écologique à un dialogue interculturel et pacifiste sur les diversités de la zone océan Indien (…). Ces faiseurs de pluie ont donné un coup de fraîcheur et de poésie sur cet aride festival en délivrant un message de respect universel sur le vivre (et mourir) ensemble ».
Zibeline, juillet 2015.

«  On aurait littéralement cru qu’il pleuvait averse dans la salle, tellement l’ambiance était aussi réaliste que fascinante. Le jeune public, convié à l’occasion, est sorti de la salle sans voix. »
L’express de Madagascar, décembre 2016 

«  Un à un, ils ont exhibé leurs vies et leurs coutumes, mais aussi la manière dont ils ont vécu la mort d’un de leurs parents. Une douleur partagée mais également des émotions ressenties par les spectateurs. Surtout au moment du « Famadihana », l’évocation d’une cérémonie mortuaire malgache qui prend tout son sens dans son pays d’origine. »
Midi Madagazikara, décembre 2016

« Une constante traverse l’œuvre de Cirquons Flex : l’attachement aux questions de "territoire", de "culture", tant dans sa dimension humaine qu’écologique. Que l’on nous pardonne l’étiquette un peu restrictive de "cirque" sur la nouvelle création de la compagnie Cirquons Flex. Car même si l’on connaît déjà le travail d’expérimentation autour des arts circassiens entrepris par Virginie Le Flaouter et Vincent Maillot, La pli i donn pousse leur travail encore plus loin. »
L’Azenda, 2016 

Revue de presse : de l'autre côté

« Dans la rue, il y a un rockeur, Frédéric Nevchehirlian, qui vous happe avec sa musique et ses paroles à la fois rudes et touchantes. Et puis il y a, à deux pas, deux acrobates, Virginie Le Flaouter (remise de sa blessure) et Vincent Maillot, qui concentrent toute l’énergie de leur belle jeunesse autour d’un grand portique de 8 mètres de haut, à la recherche de leur propre voie, d’une émotion vraie, de bribes de beauté. Flirtant en permanence avec le risque, également au trapèze ballant, au mât chinois, à la roue Cyr, ils clament leur désir d’être eux-mêmes. »
Stéphanie Barioz, Sortir Télérama, septembre 2011

 

« Virginie et Vincent, venus de La Réunion, ont eu la bonne idée de s’associer au slamer Marseillais Fred Nevchehirlian. Leur quête de verticalité et de hauteur, dans leur duo « De l’autre côté », se marie idéalement à la musique et aux paroles intense du Chanteur. Un duo devenu trio tant ces artistes sont complices. Performance unique et très applaudie. »
Patrick Merle, La Provence, 3 Juillet 2011?

Dobout an bout

« Avec la tournée du spectacle Dobout an Bout de la Cie Cirquons Flex, le mois de juin a vu encore une belle initiative du Bois de l’Aune (…) Le spectacle joue entre les différentes formes d’expression (…) Tout cela se fond en une écriture ferme et sans temps morts d’une belle densité. (…) Les trois artistes, évoluent avec une fluidité et une élégance qui font oublier la folle difficulté des acrobaties exécutées. (…) L’ensemble résonne des superbes compositions d’Érick Lebeau, au chant, à la contrebasse, guitare rock… Le public est debout, transporté par cette leçon d’humanité et la beauté des chorégraphies. »
Maryvonne Colombani – ZIBELINE – Juillet 2013

D
Points de suspension

Ainsi s’articule « Points de suspension », non comme une suite de numéros circassiens mais comme une comédie où ce qui se dit n’a rien à envier à ce qui se joue physiquement entre les différents talents du métier des enfants de la balle qui les ont réunis. (…) Du cirque de pro, enfin, à la Réunion.»
Le journal de l’île, Marine Dusigne, 28 octobre 2008

« Points d’exclamations ! (…) Un premier spectacle qui génère des flopées de points d’exclamation en suivant une série de tableaux fondus et enchaînés qui disent le cours de la maladie d’amour entre deux jeunes gens. (…) Gracieux, poétiques, puissants, mais sensuels, drôles et ironiques, ludiques et interactifs, virgules virevoltantes et le plus souvent amoureuses, ils emmènent leur monde avec générosité, ponctuant leur spectacle de vraies trouvailles. (…) A suivre … Les yeux fermés. »
Le Quotidien de La Réunion, Vincent Pion, 1er novembre 2008

« (…) là on est nez en l’air, entre petite peur et grand bonheur à voir cette fée en apesanteur jouer tout sourire à la Marion des « Ailes du désir », (…) et dulcinée pour de vrai d’un amoureux de Peynet toujours en retrait pour mieux la laisser briller. »
Le journal de l’île, Marine Dusigne,  1er novembre 2008?

Points de suspension 18
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